Ndeng’am (Ma misère)
…
Tatanu (Maintenant)
Oui. Maintenant que tu n’es plus là, j’ai des soupirs litaniques et des sanglots kilométriques. Dans la maison flottent encore les effluves de tes viandes braisées et de tes condiments aphrodisiaques. Chérie, mea culpa. Je t’en supplie, reviens.
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