Mbemb’a mot’a sawa (Les lamentations du riverain)
Premier Prix Vick’s Vedettes 1967. Cette chanson est l’image d’un peuple, victime de son insouciance, de son excès d’inconscience. Assis au bord de la côte, écrasé sous le poids du chagrin, le dos courbé comme la lettre C, il pleure, il pleurera longtemps.
Mulema mam (Mon cœur)
La toute première chanson d’Eboa Lotin, composée et écrite en 1962. C’est l’histoire d’un jeune couple sans expérience au sein duquel le mari vient d’accorder la liberté totale et inconditionnelle à son épouse (le divorce) because monsieur n’avait pas le porte-monnaie assez volumineux pour satisfaire les ambitions démesurées de sa femme.
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