Ngon’a mulato (Jeune fille mulâtresse)
Tout autour d’elle, ils avaient des Mercedes, et moi une vielle bicyclette : la concurrence était déloyale, et puis il est très difficile à une princesse d’épouser un éboueur. Trahi par ma modeste condition, je suis condamné à crever avec cette horrible douleur qui m’habite les entrailles, qui m’a mis l’ouragan au cœur et la tempête au cerveau.
Oh, Seigneur ! Que j’ai mal, Je ne m’en relèverai jamais, aucun marabout, aucune thérapie n’en viendrait à bout, mais toi, ngon’a mulato, oui, toi seule, Toutou peut me guérir.
Da longo (Ne tirez pas sur l’artiste)
Eboa Lotin observe les hommes et la nature, vous vous sentez concernés pour rien, il ne vous a pas cité nommément. Il chante ce qu’il voit, ce qu’il entend, ou ce dont il a été personnellement victime.
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